15 août 2025
Ce 15 août, je quitterai la Suisse. La porte reste ouverte… jusqu’à ce que le silence s’impose.
RÉVÉLATION & TRANSFORMATIONVOYAGE INTÉRIEUR & RETRAITE
João da Encarnação
7/20/20253 min temps de lecture


Le 15 août 2025, je quitterai officiellement la Suisse. Je pars, faute de travail et de soutien. Mais ce départ n’est ni une défaite ni une fuite. Il a été préparé depuis longtemps, intérieurement et concrètement. Je pars parce que je ne peux plus me trahir. J’ai osé dire ce que beaucoup taisent : que notre système s’effondre sous le poids de ses propres mensonges, que l’humanité court à sa perte si elle continue à ignorer la dignité, la justice, la vérité, l’éthique… et surtout, si elle oublie que Dieu est bon et juste.
Mais dans un pays où il est presque impossible de vivre sans revenu stable ni reconnaissance sociale, que reste-t-il à celui qui refuse de jouer le jeu ? À celui qui ne veut pas faire semblant ? Qui ne peut plus porter de masque pour être accepté ? Les portes se sont fermées. Et pourtant, je n’ai jamais voulu prendre quoi que ce soit à personne. Je n’ai fait que partager une vérité qui me dépasse, une vérité qui descend du ciel.
Je me suis exposé, publiquement, sans filtre, dans l’intention sincère d’éveiller les consciences, de prévenir les drames, de proposer des solutions. J’ai partagé mes visions, mes douleurs, mes révélations. Non pas pour être acclamé, mais parce que je croyais — et je crois encore — que le monde peut changer. Je savais que peu comprendraient mon message. Le jugement humain est facile ; les chemins de Dieu, eux, sont complexes. Mais j’ai parlé quand même. Avec amour. Avec courage. Avec tout ce que j’avais. Je l’ai payé cher ? Oui. Mais ce que j’annonce, ce que je vois venir, nous allons tous le payer bien plus cher si nous persistons à détourner le regard.
J’ai proposé un autre modèle. Une économie locale, résiliente, équilibrée. Une manière de vivre où les droits humains ne dépendent plus d’un passeport, et où la production se fait proche de ceux qui consomment. J’ai parlé de “mondialisation locale” : une mondialisation juste, consciente, écologique. Mais cela dérange, car cela suppose de redonner leur dignité aux peuples, de remettre en cause le système d’endettement perpétuel, de recentrer nos vies sur l’être humain plutôt que sur le profit.
Et comme on ne veut plus m’écouter ici, je retourne là où j’ai préparé un lieu, dans l’amour, la foi, la simplicité. Ce lieu existe. Il est vivant. C’est un jardin avec des poules, du soleil, des panneaux solaires, des batteries, un potager sans produits chimiques, avec une méthode qui consomme très peu d’eau. Un endroit nourri de lumière naturelle, et non d’éclairage artificiel. Ce n’est pas un abri construit dans la peur, mais un poste de veille, un lieu d’éveil, où la porte reste ouverte. Ce lieu est protégé par Celui qui m’a créé et qui m’a envoyé. Il m’a choisi non pour séduire, mais pour réveiller. Pour rappeler une dernière fois que le seul chemin de salut est celui que Jésus, le Messie, a révélé au monde.
Je lance un dernier appel, avant le silence. Oui, je cherche encore un emploi. Pas seulement pour des raisons économiques, mais parce qu’aujourd’hui, chaque opportunité serait un signe, un acte de foi, un indice que ma mission peut encore continuer ici. Jusqu’au 15 août, je suis disponible en Suisse. Si une personne, une organisation ou une entreprise veut me tendre la main — pour écouter, collaborer ou simplement m’employer — je suis prêt. Mais si rien ne se passe d’ici là, je partirai en paix. Avec la foi qui me protège et me guérit. Et si, un jour, vous comprenez enfin ce que je tentais de dire, sachez que ma porte restera ouverte. Mais il se pourrait que votre âme, elle, ne soit déjà plus inscrite dans le Livre de Vie.
Je laisse aussi un avertissement à ceux qui, consciemment ou non, participent à la destruction du monde. Mon lieu est un “bunker de lumière”. Et les enfants qui s’éveillent à la lumière ne connaîtront pas la dernière coupe. Cette fois, ce ne seront plus seulement les premiers-nés comme en Égypte, mais tous les enfants du péché — ceux qui refusent Dieu, la justice, la dignité humaine, la gratitude de vivre sur cette Terre qui était un paradis, et qui participent à sa ruine. Pour ceux qui veulent encore s’éveiller, il reste un peu de temps. Mais pour les insensés qui se croient dieux, pour ceux qui s’enferment dans des sarcophages technologiques en croyant se sauver de la colère de Dieu, viendra l’heure de comprendre que personne n’échappe à la lumière. Et que la justice du Messie ne dort pas.
De votre frère,
João da Encarnação
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